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COLLECTIONS "L'écume des jours et des nuits", pour Boris Vian (2014)
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"L'écume des jours et des nuits", pour Boris Vian (2014)

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[Acrylic on canvas - 30 x 30cm]

Boris Vian , in "L'écume des jours", 1947

"Le vent se frayait un chemin parmi les feuilles et ressortait des arbres tout chargé d'odeurs de bourgeons et de fleurs.
(...)
Le soleil dépliait lentement ses rayons et les hasardait, avec
précaution, dans des endroits qu'il ne pouvait atteindre
directement, les recourbant à angles arrondis et onctueux, mais se heurtait à des choses très noires et les retirait très vite, d'un mouvement nerveux et précis de poulpe doré. Son immense carcasse brûlante se rapprocha peu à peu, puis se mit, immobile, à vaporiser les eaux continentales et les horloges sonnèrent trois coups."

Boris Vian
L'écume des jours, 1947

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[Acrylic on canvas - 30 x 30cm]

Boris Vian , in "L'écume des jours", 1947

"Le vent se frayait un chemin parmi les feuilles et ressortait des arbres tout chargé d'odeurs de bourgeons et de fleurs.
(...)
Le soleil dépliait lentement ses rayons et les hasardait, avec
précaution, dans des endroits qu'il ne pouvait atteindre
directement, les recourbant à angles arrondis et onctueux, mais se heurtait à des choses très noires et les retirait très vite, d'un mouvement nerveux et précis de poulpe doré. Son immense carcasse brûlante se rapprocha peu à peu, puis se mit, immobile, à vaporiser les eaux continentales et les horloges sonnèrent trois coups."

Boris Vian
L'écume des jours, 1947

[Acrylic on canvas - 30 x 30cm]

Boris Vian , in "L'écume des jours", 1947

"Le vent se frayait un chemin parmi les feuilles et ressortait des arbres tout chargé d'odeurs de bourgeons et de fleurs.
(...)
Le soleil dépliait lentement ses rayons et les hasardait, avec
précaution, dans des endroits qu'il ne pouvait atteindre
directement, les recourbant à angles arrondis et onctueux, mais se heurtait à des choses très noires et les retirait très vite, d'un mouvement nerveux et précis de poulpe doré. Son immense carcasse brûlante se rapprocha peu à peu, puis se mit, immobile, à vaporiser les eaux continentales et les horloges sonnèrent trois coups."

Boris Vian
L'écume des jours, 1947